Équipe Martin Philippe | Tendances et défis du marché immobilier mondial : réalités post-pandémie et impact sur les nouveaux acheteurs

Oui, parce qu'actuellement, les prix affichés sont beaucoup plus réalistes qu'ils ne l'étaient pendant la pandémie. Pendant la pandémie, les prix affichés n'étaient pas réalistes, ça se vendait 100 000 $ de plus. Aujourd'hui, on a encore de la soie en charme, mais les montants vont être beaucoup plus restreints. Ils reflètent plus le marché actuel. En tout cas, tu vas être autour de 500 000 $ pour une maison moyenne, mais oui, c'est cher.

Mais si on regarde partout dans le monde, une fois, je me mets à feuilleter un peu différentes places dans le monde. En tout cas, partout, c'est cher. Mettons une maison au Mexique, à Toulouse, que j'ai regardée l'autre fois, c'est encore cher. Ce ne sont plus des offres à 49 000 $ comme il y avait à l'époque, c'est augmenté de prix. Si on regarde partout dans le monde, c'est rendu super cher. Oui, tous les prix de l'immobilier ont monté partout.

Pour pouvoir acheter pour tes premiers achats, c'est peut-être plus difficile d'acquérir ta première maison parce que tu as besoin d'une mise de fonds qui est de 5 %, mais 5 % d'une maison à 180 000 $ à l'époque versus une maison aujourd'hui à 500 000 $, c'est sûr que la mise de fonds est quand même un petit peu plus importante. Mais ça reste accessible. Les acheteurs, mettons au niveau des acheteurs, s'ils ont de bonnes préqualifications, de bonnes jobs, ils vont être capables d'acheter quand même.